Benjamin Dupé a construit au fil du temps, avec la patience d’un architecte, un langage original qui repose sur la mixité des arts, sur la pluralité des approches. Il est l'invité de ce Tapage Nocturne.
Ecriture instrumentale et électroacoustique, improvisation et performance, réalisation et programmation de dispositifs technologique, inventant des formes distinctes du concert traditionnel.
C’est dans cet esprit, qu’il cofonde en 2000, avec Benjamin de la Fuente et Samuel Sighicelli, la compagnie d’invention musicale Sphota, avec laquelle il créera sept spectacles accueillis par des festivals comme Musica à Strasbourg,ou le März Musik de Berlin.
Cultivant les rencontres artistiques, il est sollicité par des metteurs en scène comme Declan Donnellan pour Le Cid au Festival d’Avignon 1998, Renaud-Marie Leblanc en 2010 pour Erich Von Stroheim ou par des chorégraphes.
Benjamin Dupé interprète en live de Duende eléctrico
ACTUALITÉ
Fantôme, un léger roulement, et sur la peau tendue qu'est notre tympan
concert | spectacle en immersion
conception, musique, dramaturgie | Benjamin Dupé
scénographie et réalisation des instruments | Olivier Thomas
lumières | Nicolas Villenave
développement informatique | Charles Bascou (GMEM)
son en tournée | Julien Frenois
« *Une tendre et taquine virée fantomatique. » * La Provence
*« Très belle, très poétique et très intime installation sonore. » * Zibeline
*« Étonnant voyage, création des plus réussies d'une écoute en immersion timbrale. » * France Musique
*« Une œuvre musicale magique, originale, très subtile. » * Radio Grenouille
« Fantôme, (…) se joue dans un espace immersif, doux et enveloppant, qui place les spectateurs au cœur de la vibration musicale. En organisant différents stimuli (sons, mouvements d’automates mécaniques, vibrations de matières, intensités lumineuses), la pièce déploie une écriture qui s’adresse à l’ensemble des sens, mais dans laquelle la musique demeure le langage prépondérant, jouant de mystère et de fascination. Une expérience sensorielle, mais aussi mémorielle : un sous-texte, librement inspiré du mythe d'Orphée, nourrit la composition. Il invite à mettre en résonance ce qu’il nous reste, confusément ou inconsciemment, dans la tête ou dans le corps, de la figure du héros et de son Eurydice perdue. »
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