%22%20xlink%3Ahref%3D%22data%3Aimage%2Fjpeg%3Bcharset%3Dutf-8%3Bbase64%2C%2F9j%2F2wBDACgcHiMeGSgjISMtKygwPGRBPDc3PHtYXUlkkYCZlo%2BAjIqgtObDoKrarYqMyP%2FL2u71%2F%2F%2F%2Fm8H%2F%2F%2F%2F6%2F%2Bb9%2F%2Fj%2F2wBDASstLTw1PHZBQXb4pYyl%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj%2FwAARCAAXACoDASIAAhEBAxEB%2F8QAGQAAAwEBAQAAAAAAAAAAAAAAAAMEAQIF%2F8QAIRAAAgIBBAIDAAAAAAAAAAAAAQIAAxEEEjFBEyEiUWH%2FxAAUAQEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA%2F8QAFBEBAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAP%2FaAAwDAQACEQMRAD8ATWK0ODnJlNGqr3GpgMfcQKj42scHcRgAdRul0OzFthz%2BQO9XZXXpyiKPcgrNa53c9Sm5%2FIGRQMlvcVqdMEAZAc8YgLfavyHfEThvqOatmwWBzjib5APWyB6FdisfXEw3Ft1Q56hCBytADBnHz%2FI0adg2cwhAy9GC7hjI5km5T1CED%2F%2FZ%22%20%2F%3E%3C%2Fsvg%3E)
Disparue il y a 50 ans, Marie Dubas occupe une place beaucoup plus importante dans l'histoire de la chanson que celle que la mémoire lui a réservée, surtout si l’on songe à la très grande popularité qui l’a accompagnée durant toute sa période de présence sur scène dans les pays francophones.
Héritière d’Yvette Guilbert, inspiratrice d’Edith Piaf, Marie Dubas, c’était mille femmes en une. Toujours vêtue d’une robe de mousseline blanche, elle chantait, dansait, jouait, mimait, et s’étourdissait dans un kaléidoscope d’émotions, passant du rire aux larmes avec une aisance incroyable.
Après la Libération, son retour à Paris marque le début d’une seconde carrière fidèle à l’esprit qui l’a toujours animé, à l’écart des nouvelles modes musicales.
Programmation musicale
On prend le café au lait au lit
Marie Dubas en public
Document INA, 1946
(p : Pierre Dudan – m : Frédo Gardoni)
Les voilà
Marie Dubas
Enregistrement privé, 1945
(p : Jacques Plante – m : Louiguy)
Un bal à la sous-préfecture
Marie Dubas en public
Document RTS, 1948
(p & m : Miarka Laparcerie)
Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.
Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.
Il fait des phrases
Marie Dubas
Document INA, 1948
(p : Guy Lafarge – m : Daniel White)
Je n’sais pas ce qui se passe en moi
Marie Dubas
Document INA, 1948
(p : Helyet Dauphin et Marie Dubas – m : Helyet Dauphin et Marcel Genton)
L’amour n’a pas de cheveux blancs
Marie Dubas
Document INA, 1950
(poème de Jean-Baptiste Clément, sur un prélude de Chopin)
Extrait de la comédie « Le petit café »
Marie Dubas et Bernard Blier
Document INA, 1949
(texte de Tristan Bernard)
La samba de la poule
Marie Dubas
Document INA, 1954
Tirée de la comédie « Le petit café »
(p : Maria del Villar et Janine Raynaud – m : Janine Raynaud)
La grande Mélie
Marie Dubas
Enregistrement public, 1949
(p : Georges Isnel – m : Henri Dickson et René Casabianca)
C’est du vrai
Marie Dubas
Document RTS, 1952
(p : Max Eddy – m : inconnu)
L'équipe
Production- Collaboration
- Réalisation
