Disparue il y a 50 ans, Marie Dubas a une place beaucoup plus importante dans l'histoire de la chanson que celle que la mémoire lui a réservée. Héritière d’Yvette Guilbert, inspiratrice d’Edith Piaf, Marie Dubas, c’était mille femmes en une.
Artiste complète, elle chantait, dansait, jouait, mimait, et s’étourdissait dans un kaléidoscope d’émotions, passant du rire aux larmes avec une aisance incroyable.
Interprète pure, possédée par l'amour de la scène et du contact direct avec le public, elle éprouvait beaucoup de difficultés, voire de réticences, à se laisser capter par les moyens audio-visuels son époque : le disque 78 tours, le cinéma sonore, ou la radio, qu’on appelait encore « TSF ». De sorte qu’elle nous a laissé trop peu de traces de son art.
Grace aux archives de l’INA, nous allons tout de même la redécouvrir au cours de cette série d’émissions.
Programmation musicale
La femme du roulier
Marie Dubas avec un public d’étudiants
Document INA, 1939
(p & m : traditionnel)
Ah ! les noces (ou « Une noce dans le 15e arrt »)
Marie Dubas
Document INA, 1950
(p : Pierre Thomas – m : Gaston Ouvrard)
Ça fait peur aux oiseaux
Marie Dubas, 1927
(p : Galoppe d'Onquaire – m : Paul Bernard)
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Pedro
Marie Dubas, 1930
(p : Jean Rodor – m : Joseph Gey)
Pedro
Marie Dubas
Document INA, 1949
(p : Jean Rodor – m : Joseph Gey)
Mais qu’est-ce que j’ai ?
Marie Dubas, 1932
De l’opérette « P.L.M. »
(p : Rip – m : Henri Christiné)
Quand je danse avec lui
Marie Dubas, 1930
(p : Gabriello – m : Jean Eblinger)
Son voile qui volait
Marie Dubas, 1932
(p & m : traditionnel)
C’est si bon quand c’est défendu
Marie Dubas, 1930
(p : Paul Colline – m : Maurice Roget)
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