Aujourd'hui, nous partons en Italie ! Marc-Olivier Dupin nous y emmène avec Giovanni Pierluigi da Palestrina et son chef-d'oeuvre Magnificat Primi toni... Voyage au sud !
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Premièrement, il s'agit de l’œuvre d’un compositeur particulièrement prolixe, exclusivement dans le domaine de la musique vocale polyphonique. Longtemps compositeur officiel de Saint-Pierre de Rome, il est l’auteur de 104 messes, 375 motets, 35 magnificat… Mais au cours de sa longue carrière il composera également plus d’une centaine de madrigaux.
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La deuxième idée réside dans la fascination des compositeurs pour l’écriture à 8 voix.
A la Renaissance, le jeu polyphonique s’organise de multiples façons, notamment sous forme de double-chœur. A quatre voix chacun, les chœurs tantôt alternent avec un effet d’écho, tantôt se superposent pour donner une masse sonore imposante. Cette forme se retrouve au cours de l'histoire dont voici un exemple dans le motet de Bach Singet qui semble avoir fasciné Mozart :
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Troisième idée : à la Renaissance, les compositeurs ont une grande diversité de production qui comprend à la fois des œuvres religieuses et des pièces profanes.
Mais celui qui est peut-être allé le plus loin dans ce « grand écart » est Orlando di Lasso, qui a composé parmi les plus belles pages de musique religieuses mais aussi des chansons quelque peu frivoles, telles que « Une puce j’ai dans l’oreille »…
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