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- Moi je suis né à Malaga, le 25 octobre 1881, et mon nom complet comporte pas moins de 16 prénoms, je vous en fais grâce !30 juin 2017 • 2 min
- Benoîte Marie Rose-Nicole née d’une mère dessinatrice de mode, et d’un père styliste de meubles, le 31 janvier 1920 à Paris.29 juin 2017 • 2 min
- C’est dans la Ville rose que je vois le jour le 9 septembre 1929. Papa est chanteur d’Opéra et maman une pianiste reconnue, mes grands-parents, eux, chantent dans une chorale.28 juin 2017 • 2 min
- Je suis née à Puteaux le 22 octobre 1905, papa bosse à l’ancêtre de la RATP, il me donne Raymonde comme prénom, avant de me laisser avec maman orpheline à 4 ans. Placée dans un institut religieux, je m’en échappe adolescente pour rejoindre mon frangin à Arles.27 juin 2017 • 2 min
- Mes grands-parents, les Kopaszewski ont immigré de Pologne au Pas-de-Calais après la guerre en 1919, mes parents sont donc déjà français, quand ils me prénomment Raymond à ma naissance, à Noeux-les-Mines, le 13 octobre 1931.26 juin 2017 • 2 min
- C’est à Bourg-la-Reine qu’un génie absolu voit le jour le 25 octobre 1811…ha ben oui c’est moi, Evariste, déjà avec un prénom pareil, je suis forcément unique.Jusqu’à 11 ans, c’est maman, juriste et bonne catho, qui me fait l’école.23 juin 2017 • 2 min
- Ma grand-mère est une descendante des frères Montgolfier, mon père et ma mère me prénomment Andrée quand ils me donnent vie le 23 décembre 1925 à Paris.22 juin 2017 • 2 min
- Louis Ernest, né à Paris le 10 mai 1864, de parents modestes. Obligé de quitter l’école à 16 ans pour gagner ma vie, je vais créer un véritable empire, toujours debout aujourd’hui.21 juin 2017 • 2 min
- C’est en Bourgogne, à Fain-les-Moutiers très précisément, qu’après 7 moutards, Père et Mère me donnent vie comme Catherine, le 2 mai 1806. Bon ils en ont encore fait 3 après moi ! Bref, je bosse à la ferme, faut bien les aider les vieux, et j’apprends aussi les rudiments religieux en pension.20 juin 2017 • 2 min
- Alors attention je vous interdis de vous moquer de mon nom, Taillefesse ! Oui bon ben j’y suis pour rien, c’est papa qui s’appelle comme ça, et il a rien trouvé de mieux que d’épouser maman, parce qu’elle s’appelle aussi Taillefesse, non mais c’est n’importe quoi !18 juin 2017 • 2 min
- Alain-Pierre-Marie-Jean-Georges, ouais c’est un peu long je vous l’accorde, mais fallait bien ça pour un homme comme moi, né à Vannes, le 3 juin 1922. Asthmatique, je suis obligé de faire mes études à la maison.17 juin 2017 • 2 min
- Maman c’est Elvira, dévote forcenée italienne, papa, c’est Jean-Louis, tout aussi forcené mais dans l’anticléricalisme et la libre pensée, je vous laisse imaginer les dîners de famille le soir à Sète !19 juin 2017 • 2 min
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Née en 1980, je suis déçue d’avoir raté les paillettes des années disco. Qu’à cela ne tienne, je serai comédienne, pour pouvoir à loisir me déguiser et changer de peau.
Fille d’un syndicaliste et d’une chef de production aveyronnais, j’ai clairement baigné dans le monde de la parole et de l’argumentation ! De mémoire, j’ai toujours voulu être comédienne.
Enfant joyeuse, je décide, une fois devenue adulte, de tout faire pour répondre aux rêves de la petite fille que j’étais. Après un Bac littéraire, je pars à Paris pour suivre des études de théâtre aux Ateliers de l’Ecole de Chaillot pour la pratique et une maîtrise d’études théâtrales à la Sorbonne Nouvelle pour la théorie (papa et maman ont peur mais bien qu’encore gamine, ils me savent décidée et responsable).
Quelques années à faire du théâtre, aussi bien classique que comique, quelques voix, de la figuration au cinéma, du théâtre en entreprise et un bébé. Dès lors, la vie m’amène au soleil de Montpellier où je pose mes valises et agrandis rapidement ma famille.
A Montpellier, c’est le Théâtre jeune public qui m’ouvre les bras dès mon arrivée. Les pièces tout public s’enchaînent et je découvre avec plaisir l’enseignement, d’abord auprès d’enfants puis avec des adultes malvoyants.
Amoureuse de mon métier, du théâtre sous toutes ses formes, je pense qu’il ne doit pas y avoir de frontière entre les différents courants. J’aime autant faire rire les spectateurs que les émouvoir et c’est cela qui me porte à jouer des spectacles très variés, toujours avec passion et respect du public.