Constance Debré

Depuis qu'elle est passée de l'art oratoire à la littérature, Constance Debré n’a de cesse de questionner l’ordre social et la violence qui en émane. Avec son quatrième roman "Offenses", elle poursuit cette quête de vérité par une écriture dépouillée pour mieux traquer et traduire le mensonge.

Depuis qu'elle est passée de l'art oratoire à la littérature, Constance Debré n’a de cesse de questionner l’ordre social et la violence qui en émane. Avec son quatrième roman "Offenses", elle poursuit cette quête de vérité par une écriture dépouillée pour mieux traquer et traduire le mensonge.

Après "Play Boy", "Love me tender" et "Nom", Constance Debré pose la question du Bien et du Mal à travers une affaire d'homicide, tout en faisant appel cette fois-ci à son expérience de juriste, d'ex-avocate. La radicalité d'écriture de l'auteur ne semble pas avoir fait consensus chez Le Masque.

Nos critiques ont-il aimé "Le Passage" de Cormac McCarthy, "Entre les marges" d'Elena Ferrante, "Offenses" de Constance Debré, "Le Bureau d’éclaircissement des destins" de Gaëlle Nohant et "La Petite-fille" de Bernhard Schlink ?

S'inspirant d'un fait divers, Constance Debré désarticule la forme plaidoirie pour montrer la vanité de la comédie institutionnelle qu’est un procès.

L'écrivaine Constance Debré livre dans son dernier roman "Offenses" une réflexion dostoïevskienne sur le bien, le mal, la morale et la justice dans notre société.

Avec les romans que Constance Debré publie depuis maintenant 5 ans, elle questionne l’ordre social et ses failles. Le couple, la maternité, la filiation, l’héritage. Et son nouveau roman "Offenses" interroge ni plus ni moins nos lois et la façon dont la justice est rendue dans notre pays.

En raison d’un appel à la grève de l’ensemble des organisations syndicales représentatives de Radio France déposé dans le cadre de la deuxième journée nationale de mobilisation contre la réforme des retraites, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l’intégralité de nos programmes habituels.

Arnaud Laporte s’entretient avec Constance Debré dans le cadre de sa résidence à la Villa Albertine à New York.

D'après les coups de cœur du "Masque & la Plume" cette année : l'inédit de Céline, "Les Correspondances" de François Truffaut, "Tout comme toi" de Nick Hornby, "Le Jeune homme" d'Annie Ernaux, "Reine du réel" de Nancy Huston, "Nom" de Constance Debré et "Le Grand Monde" de Pierre Lemaitre.

Après "Play boy" et "Love me tender", Constance Debré publie une nouvelle autofiction où elle poursuit son processus de dépouillement intérieur au ton musclé, son refus des normes dont celles induites par son propre "Nom". Elle est en compétition pour le 48è Prix du Livre Inter

Constance Debré revient, radicale et engagée, bousculer la littérature française avec un nouvelle autofiction intitulée "Nom". À découvrir dans l'Heure Bleue.