Ferenc Fricsay

“Je donnerais toutes mes symphonies pour être l'inventeur de la locomotive !”, avait déclaré Antonín Dvořák, compositeur d'une œuvre majeure. Dvořák est devenu un symbole de l'indépendance tchèque au XIXème siècle.

Lumière sur la neuvième symphonie de Beethoven, dirigée par le chef d'orchestre hongrois Ferenc Fricsay, pour le disque de légende du jour !

En septembre 1959, le chef d'orchestre hongrois Ferenc Fricsay enregistre pour Deutsche Grammophon la Messe en ut mineur de Mozart, avec l'Orchestre symphonique allemand de Berlin, le chœur de la Cathédrale Sainte-Hedwige, et en solistes Maria Stader, Herta Töpper, Ernst Haefliger et Ivan Sardi.

Le chef d'orchestre hongrois Ferenc Fricsay et l'Orchestre philharmonique de Berlin enregistrent en octobre 1959 la célèbre Symphonie n° 9 "Du Nouveau Monde" d'Antonin Dvorak, pour le label Deutsche Grammophon. Une très belle interprétation, dynamique, souple, lyrique, presque transparente...

Quand Ferenc Fricsay se trouve face à l'orchestre, il présente des arguments au lieu de donner des ordres. Ses mains sont d'une éloquence peu commune, son regard clair, le plus souvent calme et le corps toujours tendu. Beethoven, Mozart, Liszt et Bartok sont dirigés par Ferenc Fricsay dans le van B.

Il n’est pas sûr que l’on mesure aujourd’hui la perte que représenta la mort, à 48 ans, du merveilleux chef hongrois Ferenc Fricsay, en 1963. Sans doute un certain Herbert von Karajan n’aurait-il pas eu la position de monopole qui fut la sienne…

Le chef hongrois Ferenc Fricsay enregistre en juin 1953 pour Deutsche Grammophon la 'Musique pour cordes, percussion et célesta' de Béla Bartok, avec l'Orchestre symphonique allemand de Berlin, dont il a été le premier directeur musical.

Jérémie Cahen, Stéphanie Friédérich et Piotr Kaminski élisent leur version de référence de La Moldau de Bedrich Smetana.