Florian Delorme

Place à la “dernière utopie”, celle de la communauté terrestre. Comment repenser notre relation à la terre et au vivant à la lumière des métaphysiques animistes africaines ?

Cette semaine dans le rendez-vous de la médiatrice sur France Culture : le temps de parole politique, le journal de 12h30, les traductions simultanées et les réponses aux auditeurs. Florian Delorme, directeur par intérim de France Culture est au micro d’Emmanuelle Daviet pour répondre aux auditeurs.

Dans ce troisième épisode, Jérôme Garcin parle de son rapport au cheval depuis la chute mortelle de son père en 1973 jusqu’à l’amitié profonde, presque fraternelle, avec Bartabas, le créateur du théâtre équestre Zingaro, à qui il a consacré un récit biographique.

Pour répondre aux questions des auditeurs, Florian Delorme directeur par intérim de France Culture, est au micro d'Emmanuelle Daviet

Elias Sanbar est écrivain et traducteur du poète Mahmoud Darwich. Il est un homme de mots, mais aussi un amateur d’images, des photos au cinéma.

Elias Sanbar nous plonge dans les coulisses des négociations entre Israéliens et Palestiniens dans les années 1990.

Dans cet épisode, Elias Sanbar raconte ses nombreuses amitiés et son travail au sein de la Revue d’études palestiniennes.

Elias Sanbar a grandi au Liban et raconte les années 1960 et 70, pendant lesquelles il s’engage dans le mouvement palestinien et combat sur le terrain en Jordanie tout en suivant le cinéaste Jean-Luc Godard en tournage.

Où il est question de l’enfance non vécue en Palestine, le pays absent, la terre omniprésente.

Des livres abordables, rigoureux et sans pathos ; c’est le principal legs de Catherine Coquery-Vidrovitch. Chacun fait mentir cette idée qui dominait lorsqu’elle a commencé sa carrière selon laquelle l’Afrique serait dépourvue d’histoire.

Au Sénégal, elle s’aligne sur les volontés d’africanisation des programmes de ses élèves. Au Congo, elle s’étonne lorsque les cercles dirigeants lui demandent des leçons de marxisme-léninisme. Dans la foulée des indépendances, Catherine Coquery-Vidrovitch est une prof pas comme les autres.

Compagnonne de route du Parti communiste, Catherine Coquery-Vidrovitch vit la déstalinisation comme une période d'effervescence intellectuelle, et Mai 68 comme un bouillonnement passionnant. Et toute sa vie, elle aura décidé d’ignorer un ordre patriarcal.