Gérard Oury

De ses rencontres avec Nadia Boulanger, Duke Ellington et Xenakis jusqu’à ses plus grandes bandes originales avec Gérard Oury, Yves Robert ou encore Claude Pinoteau, le "compositeur porte-bonheur" raconte 60 ans de carrière dans ses mémoires : "Du Rêve à Reality".

De ses rencontres avec Nadia Boulanger, Duke Ellington et Xenakis jusqu’à ses plus grandes bandes originales avec Gérard Oury, Yves Robert ou encore Claude Pinoteau, le "compositeur porte-bonheur" raconte 60 ans de carrière dans ses mémoires : "Du Rêve à Reality".

Thomas Croisière revient sur la comédie Rabbi Jacob, dans laquelle Louis de Funès s'en donne à cœur joie, à coups de mimiques et d'onomatopées pour incarner un Français détestable.

En 1966, "La Grande Vadrouille" séduit des millions de Français et devient un phénomène de société. Quelle représentation de la Seconde Guerre mondiale en général et du peuple français sous l'Occupation en particulier propose cette comédie dite de résistance, vernie d'irrévérence et de conformisme ?

Aujourd’hui dans Affaires sensibles, une plongée dans les coulisses, tantôt rocambolesques ; tantôt chaotiques, d’un film que nous connaissons tous : « les aventures de Rabbi Jacob » !

Quatre-vingts secondes ce matin pour un coup de chapeau, ou plutôt un coup de schtreimel à Rabbi Jacob.

1965 : Gérard Oury a réuni Bourvil, énorme vedette, et Louis de Funès qui vient de connaître un premier grand succès avec "Le Gendarme de St Tropez". Un incident en début de tournage a bien failli compromettre la bonne entente qui régnait sur le plateau.

En 1966, La Grande Vadrouille de Gérard Oury remplissait les salles de cinéma : toute une génération marquée par la Seconde Guerre mondiale exorcisait, par cette comédie, l'époque douloureuse de l'Occupation. Comment faisait-on rire d'un traumatisme, et cela est-il encore possible ?