James Gray

Après "Ad Astra", James Gray présente un récit autobiographique, dans lequel il retrace l'amitié brisée avec un jeune adolescent noir dans les années 1980, durant l'ère Reagan. La plupart des critiques du Masque saluent un film d'une très grande intelligence.

Une histoire de racisme ? L'adaptation d'un livre de Pierre Lemaître ? La plongée dans une école de théâtre dans les années 1980 ? Une révélation religieuse ? Les critiques passent l'actualité cinématographique au scalpel.

Après les élections de mi-mandat aux Etats-Unis et à l'occasion de la sortie du film de James Gray : "Armageddon Time", revenons sur l'histoire politique des Etats-Unis et interroge les héritages familiaux et le rêve américain.

Et si les grands cinéastes film après film racontaient finalement la même histoire, creusaient le même sillon avec les mêmes obsessions. Il fait partie de ceux-là : un auteur en Amérique, un trésor donc sur notre affiche ce matin.

L’un des plus grands cinéastes américains contemporains ce matin dans Totémic : James Gray. Le 9 novembre, son film “Armageddon Time” sort en salles. C’est sans doute son œuvre la plus autobiographique puisqu’il y raconte son enfance.

Retour dans les années soixante-dix avec l'écrivaine Annie Ernaux, coréalisatrice du film "Les années super 8" à la Quinzaine des réalisateurs, et James Gray pour "Armageddon Time", ainsi que Lola Quivoron pour "Rodéo" en sélection Un certain Regard au festival de Cannes.

Au menu de cette deuxième journée de compétition cannoise, une enfance sans relief dans le Queens de 1980, et une traversée animiste de l’Europe par un âne

Two Lovers, The Immigrant, The Lost City of Z, la nuit nous appartient, The Yards... Autant de films marquant l'histoire du cinéma, réalisés par James Gray, que nous avons l'honneur de recevoir ce matin. Le cinéaste américain met en scène les Noces de Figaro de Mozart au Théâtre des Champs-Elysées.

Two Lovers, The Immigrant, The Lost City of Z, la nuit nous appartient, The Yards... Autant de films marquant l'histoire du cinéma, réalisés par James Gray, que nous avons l'honneur de recevoir ce matin. Le cinéaste américain met en scène les Noces de Figaro de Mozart au Théâtre des Champs-Elysées.

A l'ère du grand décloisonnement des arts, du règne de l’adjectif « transdisciplinaire » et de la généralisation des profils de slasheurs (ou créateurs multipistes), l’opéra semble s'imposer comme la forme artistique ultime.

Plan Large avec Darius Khondji, sculpteur de la lumière au cinéma, poète de l'image argentique et numérique, en compagnie également du journaliste Jordan Mintzer et de l'historien N.T. Binh, pour une conversation sous le signe du langage et du mouvement.