Jean-Pierre Faye

Le nom de Georges Bataille revient souvent au premier plan des combats intellectuel, esthétique ou social. C'est à cet homme multiple qui s'est ingénié à brouiller les cartes que s'attache ce "Profils perdus" de 1988. Une émission dense et riche pour en finir avec le portrait unique de l'écrivain.

De fin 1977 à début 1978, une série d'émissions est consacrée au linguiste Roman Jakobson. Dans le dernier volet 14/14 intitulé "La guirlande des poètes", ses amis Jean-Pierre Faye, Jean-Claude Milner, Léon Robel, Tzvetan Todorov lui rendent un hommage ponctué de nombreuses lectures de poésies.

Dans un hommage qui lui est rendu en 1977 sous la forme d'une série en 14 épisodes, le linguiste Roman Jakobson revient sur son parcours débuté en Russie dans les années 1910. Dans le 5ème volet, le philosophe Jean-Pierre Faye évoque l'influence du fondateur de la linguistique structurale.

Né au Caire en 1912, dans une famille juive francophone, Edmond Jabès avait été contraint de quitter l'Égypte en 1957. De cet exil forcé, de ce pays et d'une culture à jamais perdue, son œuvre est profondément marquée.

Né au Caire en 1912, dans une famille juive francophone, Edmond Jabès avait été contraint de quitter l'Égypte en 1957. De cet exil forcé, de ce pays et d'une culture à jamais perdue, son œuvre est profondément marquée.

Jean-Pierre Faye et Jacques Roubaud dans l’émission "Dialogues" en 1974 analysaient le rapport entre langage et pouvoir d'état dans une conférence intitulée : "Langage, puissance, haine et totalitarisme".

Jean-Pierre Faye et Jacques Roubaud dans l’émission "Dialogues" en 1974 analysaient le rapport entre langage et pouvoir d'état dans une conférence intitulée : "Langage, puissance, haine et totalitarisme".

Né au Caire en 1912, dans une famille juive francophone, Edmond Jabès avait été contraint de quitter l'Égypte en 1957. De cet exil forcé, de ce pays et d'une culture à jamais perdue, son œuvre est profondément marquée.

Jean-Pierre Faye et Jacques Roubaud dans l’émission "Dialogues" en 1974 analysaient le rapport entre langage et pouvoir d'état dans une conférence intitulée : "Langage, puissance, haine et totalitarisme".