René Descartes

L'idéalisme est une philosophie qui consiste à dire que les idées ont une réalité dépassant la fiction. C'est pour lutter contre les défauts du réel que nous concevons des idées de perfection.

Une idée m'est venue. Mais quoi de plus banal ? Bonnes ou mauvaises, n'avons-nous pas tous des idées ? La notion d'idée semble tout à fait ordinaire, mais ce n'est pas l'avis des idéalistes. Selon eux, il y a des idées qui font exceptions et qui témoignent d'une singularité de l'esprit humain.

"Je pense donc je suis". Qui n'a jamais croisé la célèbre formule de Descartes ? Le philosophe Denis Moreau, spécialiste de philosophie du XVIIe siècle et de René Descartes décortique les différentes variantes du "Cogito ergo sum". Et soyons précis, Descartes ne l'a jamais écrit de cette manière

Patricia Martin nous parle du "Cogito" de Descartes auquel le philosophe Denis Moreau consacre un livre intitulé "Célébration du Cogito" qui paraît au Seuil. Le "cogito", c’est la fameuse phrase de Descartes "je pense donc je suis", qu’il n’a jamais écrite, mais qu’importe !

Individuellement ou collectivement, lorsque nous sommes traversés par des émotions de joie ou de peur, nous sommes dans un entre deux. Nous avons envie de chercher comment fonctionne cet étrange mécanisme des émotions qui semble réguler nos vies et nos relations.

Les malentendus sur la notion de progrès sont loin d'être secondaires et ont deux raisons très importantes. Qu'est ce que le progrès ? Quand y a-t-il progrès ?

Descartes savant est un expérimentateur, non seulement en physique, mais également dans l’étude des phénomènes de la vie. Pratiquant la dissection, et même la vivisection, Descartes est un anatomiste.

Elisabeth de Bohème (1618-1680) est d’abord connue pour avoir entretenu une longue correspondance avec Descartes. Mais les recherches récentes montrent qu’elle est beaucoup plus que la correspondante d’un "grand philosophe".

Le célèbre auteur du "Léviathan" accompagna deux comtes de Devonshire, William Cavendish II (1590-1628), puis son fils William Cavendish III (1617-1684), dans leurs voyages de formation en Europe, le "Grand Tour", qui durait plusieurs années.

Si nos outrances nous ont certes conduits à nous croire "au-dessus de la nature", cette dernière nous rappelle aujourd’hui que nous en sommes partie intégrante et que notre essence n’est pas si transcendante.

C’est l’un des plus grands philosophes de l'existence humaine. Dans ses "Pensées", il nous suggère d'apprendre à vivre en composant avec nos faiblesses naturelles, à accepter notre finitude sans essayer de s'en détourner, au risque de se fragiliser davantage et de se perdre soi-même.

Quand, à l'intérieur d'une controverse c'est toujours la discussion dans un cadre commun qui définit la vie même de la pensée.