Robert Johnson

"2e volet de notre réflexion sur le blues, une musique très directe, très puissante, un style qui continue d'évoluer, d’avoir sa propre vie et en même temps parvient à sortir de son univers originel pour aller dialoguer avec d’autres, comme le jazz, le rock, la pop, la chanson." Sébastien Llinarès

Il faut en faire des sacrifices pour être un bon musicien, jusqu'à vendre son âme au diable parfois. C'est la légende de Faust revu par un blues man du Mississippi, Robert Johnson.

Ils s'appellent Skip James et Robert Johnson. Ce sont les deux fondateurs du blues né au début du XXᵉ siècle. Le premier était pasteur, le second avait vendu son âme au diable.

Au cœur de notre grande soirée blues, notre programmateur historique Armand Pirrone célèbre les 110 bougies de l'un de ses plus influents artistes, Robert Johnson.

Jonathan Gaudet fait parler les morts pour raconter l’histoire d’un musicien qui aurait vendu son âme au diable en échange d’un talent inouï. L’histoire est connue, mais cette fois, c’est un roman assumé, “La ballade de Robert Johnson qui paraît chez Le Mot et le Reste.

“Et le Diable a surgi” au Castor Astral, de Bruce Conforth & Gayle Dean Wardlow révèle enfin la vraie vie de Robert Johnson. Pour la première fois, le mythe fondateur de son histoire est remis en question. Il aura fallu plus de 50 ans de travail aux auteurs pour le réaliser. Illustrations de Mezzo.

Parution de "Love in Vain " Jean-Michel Dupont et Mezzo chez Glénat, collection Hors Collection.