Simon Liberati

"Cher connard" de Virginie Despentes, "La Vie clandestine" de Monica Sabolo, "Performance" de Simon Liberati, "Quand tu écouteras cette chanson" de Lola Lafon, "Vivre vite" de Brigitte Giraud. Cinq pépites littéraires qui doivent rejoindre la hotte du Père Noël selon les critiques du Masque.

Les prix Goncourt et Renaudot ont été décernés hier, jeudi 3 novembre, mais que récompensent-ils réellement ? Alexandre Gefen, directeur de recherche au CNRS et critique littéraire, nous éclaire sur ce que les prix font à la littérature.

Le jury du prix Renaudot a récompensé Simon Liberati pour "Performance" (Grasset), l'histoire d'un écrivain malade pris entre souvenirs rock et sa relation avec une très jeune fille. Guillaume Durand remporte quant à lui le prix Renaudot essai pour "Déjeunons sur l’herbe", édité chez Bouquins.

Simon Liberati mêle sa passion pour les Rolling Stones et construit toute une réflexion sur l’acceptation du temps qui passe, les errances de la vie. Un roman qui mélange deux générations et qui a régalé les critiques du Masque qui en fait l'un des meilleurs romans de l'auteur.

Simon Liberati nous propose une immersion dans la noirceur et les éclats des années 1960 dans son nouveau roman, "Les démons" (Stock).

Nous voici aux côtés de Serge, Taïné et Alexis, trois personnages aux multiples facettes. Ils s'ennuient et compensent en sombrant rapidement dans la déliquescence, cumulant toujours davantage les défis les plus inimaginables. Jusqu'à ce que très vite leur vie ne bascule. Le diagnostic du "Masque & la Plume".

Des nouveautés passées au crible : "Saturne" de Sarah Chiche, "Comédies Françaises" de Éric Reinhardt, "Du Côté des Indiens" de Isabelle Carré, "Les Démons" de Simon Liberati, "Une fille de Rêve" de Éric Laurrent ont-il séduit les critiques du Masque & la Plume ?

L’écrivain français Simon Liberati signe chaque semaine dans le magazine Grazia des portraits de femmes inspirantes et subversives. Il raconte à Leïla Kaddour-Boudadi sa fascination pour les icônes féminines contemporaines.

Boule de neige naquit en Moselle une nuit de l’hiver 1914. Son père était un soldat africain et sa mère une fille de ferme. Le vrai nom du petit enfant était Felix qui veut dire « heureux » en latin mais on le surnomma « Boule de neige » parce qu’il était tout noir de peau, tout petit et qu’il avait sur la poitrine une petite tache blanche. Sa mère l’abandonna quelques jours après sa naissance et il fut élevé par une vieille nourrice du village de Tarquinpol.

Qu'est-ce que l'inspiration, cette impulsion extérieure?

Simon Liberati fait, lui aussi, sa rentrée littéraire avec son roman "Les Rameaux noirs". Nelly Kaprièlian reçoit l’auteur qui signe un magnifique roman autobiographique.

Aujourd’hui, dans Affaires sensibles, l’assassinat de Sharon Tate par la secte de Charles Manson.